« monsieur fawley, vous pouvez entrer. » le jeune sorcier hocha la tête, inquiet. il suivi la sage-femme sans prononcer un mot, ce tournant les pousses avant de pénétrer dans une pièce. dès que son regard se posa sur la jeune femme, assise sur un grand lit, un sourire se fixa sur ses lèvres. le jeune sorcier marcha assez vite jusqu'à son épouse avant de poser son regard sur l'enfant que la jeune femme brune tiens entre les mains.  « nous avons une fille, très cher époux. » « une fille ? elle doit être aussi magnifique que sa mère, je présume. » bien que le fait qu'avoir une fille comme premier enfant, et non un garçon, ne l'enchante gère, fawley fit bonne figure. au moins, une fille pourra permettre une alliance avec une autre famille de sang-purs. la jeune mère regarda attentivement son enfant, puis son mari. « pourquoi ne pas la nommer adelaïde ? » « adelaïde elizabeth filippa charlotte fawley. »  les yeux de l'enfant se dirigea vers sa génitrice, en souriant. « bienvenue dans la société magique, chère adelaïde. » quelques jours après la naissance de la petite fawley, cette dernière fut présentée au monde magique et une fête s'est organisée pour célébrer la naissance du premier enfant du couple fawley. adelaïde est, en effet, la première fille du couple fawley, une famille prestigieuse et héritière d'une grande fortune depuis plusieurs siècles. quelques mois après sa naissance, sa mère ne l'a quittait que rarement, pour des obligations envers son époux le plus souvent, mais la jeune sorcière trouvait toujours une excuse pour être auprès de son enfant. en effet, adelaïde fawley a passée les deux premières années de sa vie entourée de sa mère pratiquement constamment, chose qui ne lui déplaisait pas vraiment, comme elle n'était encore qu'un bébé de quelques mois. la petite princesse a aussi passée beaucoup de temps avec son géniteur, dans les jardins de la grande maison familiale le plus souvent.
 
« surtout, tu es bien sage, tu ne vas pas faire de bêtises, d'accord ? » « oui, ne vous inquiétez pas, mère. tout va bien se passer. » « très bien, je t'aime mon coeur. » « moi aussi je vous aime, mère. » elle jeta un rapide coup d'oeil à son paternel, qui lui fit à un signe de tête, puis aux deux autres enfants du couple avant de monter dans le poudlard express. elle n'avait seulement qu'onze années, mais c'est à cet âge que la scolarité pour poudlard commence chez les sorciers. une fois arrivée à destination, adelaïde ne pu s'empêcher d'être émerveillée par la beauté du lieu, bien sûr elle avait déjà vu l'établissement en photo dans des livres et des magasines mais, elle le trouvait beaucoup plus beau en vrais. quelques minutes plus tard, elle était entrée dans la grande salle avec les autres premières années. ces derniers étaient tous devant la table des professeurs attendent avec impatience d'être répartis dans les différentes maisons de l'école. « très bien, quand j'appellerai votre nom, vous mettrez le chapeau sur votre tête et vous vous assiérez sur le tabouret. » la vieille femme semblait être la sous-directrice de l'établissement, elle se dirigea vers un tabouret, afin d'y prendre une liste dans une main, ainsi que le choixpeaux dans l'autre. la sorcière appela plusieurs personnes, avant d'appeler le nom de la jeune brune. « adelaïde fawley ! » la tête haute, un sourire en coin sur les lèves, la jeune fille monta les quelques marches de l'estrade, avant de tourner les talons afin de prendre place sur le tabouret. elle s'était, donc, assise sur le petit tabouret avec le choixpeaux sur la tête. « une fawley ... hum ... il n'y a pas de grandes hésitations pour roi, jeune fille, ta maison sera ... serdaigle ! » c'est avec un largue sourire aux lèvres que la jeune blonde partie rejoindre la grande table de sa nouvelle maison. quelques félicitations lui étaient parvenues à l'oreille, mais elle n'écoutait pas vraiment, trop heureuse d'avoir été répartie dans la même maison que sa grand-mère. les années passèrent, et la jeune brune grandit a une vitesse folle ! d'assez bonnes notes, une bande d'amis merveilleuse, une maison chaleureuse, la demoiselle nageait dans le bonheur ! jusqu'au jour où ..

« ma fille, prend place, j'ai quelque chose d'important à t'annoncer. » anxieuse, adelaïde, alors dans l'année de ses vingt ans tout juste, pris place sur le canapé, en face de celui où se trouvait ses parents.  « tu es fiancée au fils greengrass, et ce depuis ce matin. c'est officiel. » « quoi ?! c'est une blague ? mère, dites quelque chose ! » cette dernière resta silencieuse, la tête baissée, incapable de regarder sa fille aînée dans les iris. adelaïde regarda son père, désemparée.  « cela suffit ! tu vas épouser le fils greengrass, et ce n'est pas un choix. c'est une obligation ! » la jeune brune jeta un regard noir à son paternel avant de sortir de la pièce, folle de rage. elle monta les escaliers pour se rendre dans sa chambre. elle ne pu s'empêcher de claquer la porte derrière elle. elle, fiancée ?! déjà qu'elle ne portait pas son père dans son coeur, alors maintenant, elle le déteste plus que tout ! et sa mère ! ah, sa mère, qui n'a rien fait pour empêcher les fiançailles ! à ce moment-précis, elle était folle de rage. les larmes commencèrent à couler sur ses joues rosées. elle allait se marier a un homme qu'elle ne connait pas, coutume chez les familles sang-purs depuis plusieurs siècles. mais adelaïde ne pensait pas qu'elle pourrait être mariée aussi jeune, a une vingtaine d'années seulement. mais les années ont passées. quelques mois après l’annonce de ses fiançailles, adelaïde s'es mariée au fils greengrass sans rien dire. deux ans plus tard, elle tombe enceinte mais perd le bébé à seulement trois mois de grossesse. c'est seulement il y a deux années, en mille nef cents quatre-vingt, que la jeune femme de vingt-six ans accouche d'une petite fille : daphné. mais entre-temps, tom jedusor, en mille neuf cents quatre-vingt-un ; venant d'une famille neutre, la jeune femme ne risquait rien, mais sa famille de son mari sont des anciens mangemorts. son mari est resté au côtés de sa fille, daphné, ainsi que de sa femme, adelaïde, enceinte de leur deuxième enfant, ne voulant pas les lasser seules, malgré le risque d'être retrouvé, étant lui-même un ancien mangemort, mais la brune l'a forcé à partir, ayant peur pour sa vie. elle se retrouve donc seule avec sa fille, en attendant de trouver une solution pour faire revenir son mari à la maison.